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aller au contenu principal le pupitre carnet d'histoire de l'éducation menu vie scientifique actualités publications séminaires et ateliers thèses et hdr descendre au contenu articles publié le 16 janvier 2018 5 mai 2019 bienvenue sur le pupitre ! le pupitre fait la veille des recherches qui s’intéressent à l’éducation dans une perspective historique. vous y trouverez les derniers travaux réalisés sur les ordres et degrés d’enseignement scolaire et universitaire, l’éducation non-scolaire et plus généralement l’enfance et la jeunesse… liste de diffusion de l’atrhe (histoire de l’éducation) liste de diffusion ramuse (histoire de l’enseignement supérieur) listes de diffusion de la sophau, de la shmesp , de l’ ahmuf , et de l’ ahcesr , écolier parisien, 1912. publié le 17 mai 2019 journée d’études – l’engagement civique de la jeunesse (archives nationales, 4 juin 2019) archives nationales – site de pierrefitte-sur-seine, salles des commissions 1 et 2 4 juin 2019 , 14h-17h. entrée libre et gratuite atelier coordonné par jean-charles buttier, historien, professeur en lycée et chercheur associé à l’équipe de didactique de l’histoire et de la citoyenneté (édhice) de l’université de genève 14 h myriam bacha, responsable des actions éducatives scolaires, et ariane gaumont, responsable projets d’engagements, pôle service civique et junior association, ligue de l’enseignement – fédération de paris : “les projets de la ligue de l’enseignement – fédération de paris : accompagner les jeunes de l’école à la vie active.” 14 h 40 jean-charles buttier, historien de l’éducation : “s’engager à l’école, s’engager pour l’école ? une injonction au cœur de l’éducation à la citoyenneté.” 15 h 20 bénédicte chéron, historienne, spécialiste des représentations du fait militaire et des relations armées-société, sirice (sorbonne université) / iesd (lyon iii) / icp : “service militaire et rôle social des armées : une mémoire brouillée au cœur du débat sur le snu.” 16 h pause 16 h 15 séquence archives : présentation de fonds conservés aux archives nationales et aux archives départementales du val-de-marne (pajep) 16 h 45 discussion générale voir l’ensemble du programme « éducation populaire : engagement, médiation, transmission (xix e -xxi e siècles) » publié le 15 mai 2019 15 mai 2019 colloque international – controverses sur la cantine : laïcités, religions, nations (xixe-xxie siècles), 6-7 juin 2019, university of chicago in paris télécharger le programme [.pdf] plus d’informations et inscriptions la cantine scolaire, et le repas de midi qui y est servi, est un espace central dans la construction d’un habitus national républicain et, en principe, laïque. le déjeuner à la cantine est donc un lieu pour inculquer les valeurs françaises aux enfants. pendant ces deux jours, nous souhaitons identifier de nouvelles pistes de recherche pour aborder ces questions à partir des travaux historiographiques, ethnographiques, littéraires, et sociologiques sur la cuisine « française » ; la nourriture dite « religieuse » entre public et privé au passé et au présent ; et le corps « pratiquant » comme cible d’intervention étatique. pour élargir les cadres de ces discussions ; des practicien.ne.s venue.s des écoles, et des mairies et des institutions aborderont ces mêmes questions et des chercheuses/chercheurs évoqueront des comparaisons transnationales ainsi que d’autres controverses politico-religieuses. publié le 15 mai 2019 aàc – l’éducation dans et hors la classe : structures, acteurs et pratiques (festival international de sociologie, biennales durkheim-mauss, épinal, du 16 au 18 oct. 2019) appel à communications [.pdf] co-organisé par le laboratoire lorrain de sciences sociales de l’université de lorraine (2l2s) et par la société d’émulation des vosges (sev), le festival international de sociologie (fiso), après s’être intéressé aux figures de l’engagement et à la fabrication des corps au xxie siècle, se centrera pour sa troisième édition sur un fait social central dans l’oeuvre d’émile durkheim : l’éducation, dont la fin consistait – pour l’auteur de éducation et sociologie (1922) – à constituer l’être social en chacun de nous. c’est donc sous le patronage d’émile durkheim que nous proposons de revenir sur le processus de socialisation méthodique de la jeune (et moins jeune) génération, mais sans suivre complètement ses traces. nous décentrons en effet le regard, en le portant non pas sur le cœur du geste éducatif par lequel le maître forme socialement l’élève, lui imprime les idées, les sentiments, « pour le mettre en harmonie avec le milieu dans lequel il doit vivre » (durkheim, 1922, p. 59), mais sur les autres actions éducatives qui participent également de la formation de l’être social, le façonnant et l’émancipant à la fois. il ne s’agit pas bien sûr de minorer la place, le rôle et le travail des enseignant.e.s, mais parce que la sociologie et les sciences de l’éducation s’y sont amplement consacrées, le fiso 2019 pensera l’éducation dans et hors la classe, en abordant les « éducations à… » (i.), les structures périphériques de formation (ii.), les acteurs. publié le 15 mai 2019 publication – sexualités juvéniles, “revue d’histoire de l’enfance irrégulière” (n° 20, 2018) consulter le n° sur le site de la rhei continuer la lecture de « publication – sexualités juvéniles, “revue d’histoire de l’enfance irrégulière” (n° 20, 2018) » publié le 15 mai 2019 aàc – enfances (dé)colonisées, “revue d’histoire de l’enfance irrégulière” sélection des propositions : début juillet 2019. remise des articles (environ 45 000 signes) en octobre 2019, et un retour des évaluations en décembre 2019 allers et retours auteurs, coordinateurs du numéro : printemps 2020. parution du n°22 de la rhei : automne 2020. télécharger l’aàc [.pdf] site de la “revue d’histoire de l’enfance irrégulière” dans un ensemble complexe de questions politiques et sociales, démographiques et populationnistes, philosophiques et religieuses, les enjeux coloniaux et post-coloniaux de l’enfance irrégulière ont produit des biopolitiques spécifiques. concept avancé à la fin des années 1970 par michel foucault, « attentif aux mécanismes spécifiques qui encadrent la vie des individus et des populations », la biopolitique – ou pouvoir sur la vie et les êtres humains – et la gouvernementalité en tant que conduite des conduites constituent des entrées opérantes. les projets coloniaux, quelle que soit la puissance coloniale, ont attribué une forte importance sociopolitique à la prise en charge d’enfants et d’adolescents abandonnés à leur sort – ou perçus comme tels – pour des raisons très variables, notamment économiques ou racialistes, alors que les états nouvellement indépendants ont parfois vu dans l’enfance et la jeunesse un vivier pour construire un état nouveau et créer de nouvelles solidarités. s’appliquant à des individus vulnérables ou définis comme tels, l’expérience de la prise en charge a pu être ressentie par les enfants de manière passive et douloureuse, sans qu’il leur soit possible de résister aux injonctions en raison de la soumission attendue de la jeunesse, du renvoi à une identité racisée aliénante, de la construction de hiérarchies raciales, des assignations genrées… d’où l’intérêt de convoquer les notions d’empowerment/agency des jeunes en situation coloniale et post-coloniale et d’analyser leur rapport à l’autorité des institutions. la question de l’intime et la construction subjective des enfants eux-mêmes sont également des approches privilégiées. leurs différents modes d’expression doivent être analysés afin de mieux comprendre comment ils ont vécu leur protection (ou l’absence de protection) en contexte colonial/postcolonial, et comment elle a contribué à construire leur identité sociale. contre les engagements anticolonialistes de la jeunesse, les pouvoirs coloniaux ont déployé une action sociale autant qu’ils ont mobilisé leurs appareils coercitifs et répressifs. les états nouvellement indépendants ont eu ensuit